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Contra [[Antonius Houdar de la Motte|Antonium Houdar de la Motte]] de versionibus Homeri querelam famosam libro suo ''Des causes de la corruption du goût'' (''Gustus corrumpendi causae'') incipit necnon contra [[Ioannes Hardouen|Hardouinum]] scripsit.
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Cette traduction qui découvrit [[Homère]] à beaucoup d’hommes de lettres français, dont [[Antoine Houdar de la Motte|Houdar de la Motte]], fut également l’occasion d’une reprise de la [[querelle des Anciens et des Modernes]] lorsqu’Houdar publia une version poétique de l’''Iliade'' abrégée et modifiée selon son propre goût, accompagné d’un ''Discours sur Homère'', donnant les raisons pour lesquelles Homère ne satisfaisait pas son goût critique. Anne Dacier répliqua la même année avec son ouvrage intitulé ''Des causes de la corruption du goût''.
 
Houdar poursuivit gaiement le débat en badinant et eut la satisfaction de voir l'abbé [[Jean Terrasson|Terrasson]] prendre son parti avec la publication en [[1715]], d’un ouvrage en deux tomes intitulé ''Dissertation critique sur L'Iliade'' où il soutenait que la [[science]] et la [[philosophie]], et particulièrement celles de [[René Descartes|Descartes]], avaient tellement développé l’esprit humain que les poètes du {{XVIIIe siècle}} étaient considérablement supérieurs à ceux de la [[Grèce antique]].
 
La même année, [[Claude Buffier]] publia ''Homère en arbitrage'' où il concluait que les deux parties avaient convenu du point essentiel selon lequel Homère était l’un des plus grands génies que le monde avait vus et que, dans l’ensemble, on ne pourrait préférer aucun autre poème au sien. Peu après, le [[5 avril]] [[1716]], Anne Dacier et Houdar trinquèrent à la santé d’Homère lors d’un dîner chez [[Jean-Baptiste de Valincourt]].
 
Mme Dacier a en outre coopéré à plusieurs des travaux de son mari, particulièrement au ''Plutarque''. [[Nicolas Boileau]] faisait grand cas de Mme Dacier et la mettait au-dessus de son mari. Elle a été de l’[[Académie des Ricovrati]].
* ''Reflexions morales de l'empereur Marc Antonin, avec des remarques de Mr. et de Mad. Dacier'' (2a ed. 1691)
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[[Aegidius Menagius]] opus suum ''[[Historia mulierum philosopharum]]'' anno [[1690]] divulgatum Annae Dacier dicavit.